Tentative de Premier contact {Libre}

Casey avait reçut son nouvel ordre de mission depuis quelques jours déjà et elle les avait passé à prendre des renseignements sur les 6 jeunes qu’elle devait infiltré mine de rien afin de pouvoir les surveiller et également donner un maximum d’information à ces supérieur. Elle n’avait jamais eut une mission aussi près de ces sujets d’études, elle espérait être à la hauteur et surtout ne pas mettre sa couverture à la poubelle au moindre problème. Ainsi pour être sur d’être prêtre, elle avait essayé de mieux les connaitre en interrogeant les gens. C’est ainsi qu’elle avait un peu mieux cerner qui était ces jeunes et surtout où les trouver sans que cela n’éveille les soupçons et c’est ainsi que l’ancienne usine était revenu souvent sur le tapis.

Elle savait qu’elle avait explosé au même moment où son père était mort et elle trouvait cela quelques peu ironique dans le fond, tout la ramenait à son passé, passé dont elle n’avait que très peu de souvenir, des brides qui ressurgissaient la plupart du temps dans ces rêves. Mais pour le moment elle n’avait pas le temps de pensé à tout ça, elle devait rencontrer l’un des six et sympathiser avec lui de toute urgences car Josh Turner aimait avoir des résultats rapidement et se n’était certainement pas en restant planté à la fenêtre de sa cuisine à repenser à sa vie en Irlande qu’elle allait y arriver.

Bref, elle posa sa tasse dans l’évier, elle n’avait but qu’une gorgée du thé qu’elle s’était préparer, mais elle savait qu’il fallait qu’elle se jette à l’eau aujourd’hui et cela la rendait nerveuse. Elle passa dans son salon, sur la table elle avait posé une mallette lui permettant de ranger tout son matériel de photographie, elle l’avait entièrement vidé afin d’en vérifier le contenu. Elle ouvrit le double fond et en sortie la main quelque peu tremblante une arme à feu, elle savait tirer et elle ne tirait même pas trop mal, mais elle n’avait jamais tué personne, et elle espérait que cet état de fait resterait le plus longtemps possible ainsi. Mais depuis la mise en quarantaine, elle ne s’en séparait pas, les gens étaient tellement nerveux qu’elle voulait être capable de se défendre au cas où.

Elle manipula l’arme avec précaution, vérifiant que la sécurité n’était pas enclenchée et qu’il lui restait bien des balles puis elle le rangea dans sa cachette avant de bien replacer le fond. Elle posa ensuite à l’intérieur, son appareil photo, des pellicules, des boites de rangement et une carte des alentours de la ville. Elle ferma le précieux sac puis elle prit le dossier qu’elle avait constitué sur Sam, Savannah, Jason, Alexandra, Cameron et Jack et elle le déposa dans le petit coffre fort qu’elle avait fait installer dans sa chambre à son arrivé ici, afin d’éviter que quelqu’un ne le voit et ne devine qui elle était en réalité.

Elle revint alors dans le salon plus déterminé que jamais, ce soir elle aurait réussit à avoir un premier contact, elle pourrait alors faire son premier contre rendus à Josh Tuner. Elle prit rapidement son matériel, ces clés de voitures et elle partit pour l’usine abandonnée, sur la route, elle resta silencieuse, ne chantant pas sur la musique que la radio diffusait en boucle à part pour les messages que le commandant diffusait régulièrement pour rassurer la population et ainsi s’assurer que tout le monde restait calme. Le trajet fut relativement rapide et elle ne croisa personne. D’ailleurs, quand elle se gara elle remarqua qu’elle était la seule voiture dans tout les environs, se qui n’était pas très bon signe. Elle se rendit compte alors qu’elle n’avait pas cherché à savoir s’ils conduisaient ou pas.

Elle soupira doucement, elle allait sûrement devoir venir tout les jours pendant un petit moment avant de rencontrer quelqu’un, il avait été un peu stupide de vouloir croire qu’en claquant des doigts un ou plusieurs du groupe allait apparaitre. Un peu décourager, elle sortit de la voiture et elle sortie son appareil photo, elle allait tout de même tenter le coup après tout il faut croire à la chance du débutant. Elle commença à marcher alors au hasard à l’extérieur de l’usine tout d’abord n’oubliant pas de prendre des photos de la faune et de la flore au passage car s’était pour elle une grand passion, puis tranquillement elle se dirigea vers l’intérieur de l’usine, en redoublant de pouvoir car on l’avait mise en garde, les lieux était extrêmement dangereux et plusieurs personnes avaient déjà perdu la vie. Elle était en train de photographier des poutres recouvertes de mousse tout près d’un précipice quand elle entendu un bruit de pas non loin d’elle. Elle leva les yeux, son appareil photo toujours près à prendre le cliché et elle scruta attentivement les lieux. Elle s’éclaircie alors la voix.

- Il y à quelqu’un ?

Faire sortir une amie de la toxicomanie n'a rien de drôle. Surtout si cela vous conduit à vous dire des choses horribles, ou que vous en venez fouiller dans les secrets de l'autre. Néanmoins, Alexandra n'avait plus touché à la drogue depuis cette petite période, ce qui signifiait qu'il n'y avait strictement rien à craindre de ce côté-là. D'ailleurs, si elle venait à succomber à nouveau à la tentation d'en reprendre, il y avait de fortes chances pour que son organisme lui fasse faire une overdose, même avec une dose minime. Mais Jack avait beaucoup de mal à accepter ce qu'il avait fait à la jeune femme pour la désintoxiquer, et n'avait même plus le courage de se regarder dans son propre miroir. Bizarrement, comme s'il était au courant de ce qui s'était passé, Martin était devenu plus affectueux, ces temps-ci, et se roulait en boule près de son maître pour tenter de le réconforter. On disait parfois que les animaus avaient une sorte de sixième sens pour percevoir leur entourage et les émotions, mais Cooper y avait toujours cru, et tout cela lui permettait d'y croire davantage. Mais aujourd'hui, il avait besoin de s'éloigner un peu. Rester à distance de ses amis et... de quiconque. Il fallait qu'il s'isole, qu'il fasse le point sur lui-même, sur ses actes et ses pensées. Quant à être seul, il n'y avait qu'un seul endroit ou il pouvait véritablement. Le seul jour ou il y avait véritablement du monde à cet endroit, c'était le 13 octobre, et ce jour était passé depuis quelques temps, déja...

Pénétrant dans les vestiges de l'usine, il jeta un regard autour de lui. Il y avait plusieurs étages, mais la plupart des planchers n'étaient pas stables le moins du monde... C'était en partie ce qui avait causé la mort du septième membre de leur groupe. Depuis ce jour, l'usine était devenu un mémorial plutôt qu'un terrain de jeu pour les Six, mais Cooper avait besoin de cette tranquilité, aujourd'hui...

Bien que le temps se rafraichisse chaque jour, parce qu'ils se rapprochaient à grands pas de l'hiver, le barmen se délesta de sa veste et de son pull, pour se retrouver en tee-shirt. Il faisait presque de la buée en respirant, mais dans quelques minutes, il n'aurait plus froid. Prenant son élan, il sauta et saisit des tuyaux au vol pour se soulever du sol, et se hissa dessus. Sautant, jouant au funambule, il se retrouva bientôt, en sueur, au deuxième étage. L'endroit le plus élevé de l'usine. Ou il s'assit, les jambes pendantes dans le vide, attendant un hypothétique visiteur. Mais l'usine était considérée comme maudite, avec tous les accidents qui s'étaient produits lorsqu'on avait tenté de la raser définitivement, ce qui avait conduit les habitants de New Way à penser que les fantômes des tués hantaient ces lieux, et qu'ils refusaient qu'on détruise les ruines qui leur servaient d'habitat. Véritables fantômes ? Ou simples coïncidences ? Allez donc savoir. Tout ce qui était sûr, c'était que depuis ce jour, plus personne de la ville n'avait remis les pieds ici, exceptés les Six. Et la mort d'Allan leur avait servi de leçon. Le lieu ou étaient mortes de centaines de personnes n'étaient pas un terrain de jeu...

Une bonne dizaine de minutes passa avant que Jack ne sente le froid recommencer à l'envahir. Il n'empêchait qu'il n'avait pas envie de descendre. A vrai dire, il aurait bien aimé revoir Allan Preston. Si seulement son fantôme pouvait apparaître pour lui donner quelques réponses. Lui dire ce qu'il devait faire, n'importe quoi, du moment qu'il ne reste pas dans le vague...

C'est alors qu'un bruit inhabituel se fit entendre : Le crissement de pneus. Personne ne s'aventurait ici, normalement. Qu'est ce qui pouvait pousser une personne à se rendre dans ce lieu que l'on croyait hanté ?

Observant de son perchoir la voiture qui venait d'arriver, il vit une toute jeune femme aux cheveux d'un noir de jais, visiblement d'à peine vingt ans. Petite et mince, presque frêle vu de là ou il était. L'observant, il remarqua qu'elle avait sortit un appareil photo et qu'elle s'amusait à prendre en photo tout ce qu'elle voyait dans l'usine. Une photographe ? Peut-être une journaliste, qui sait ? Pendant de longs instants, elle déambula sans but précis, si ce n'était de prendre des photos de l'usine. Intrigué, Jack bougea son pied, faisant tomber un morceau de métal pas trop loin d'elle, ce qui fit un petit bruit qui la fit se retourner aussitôt, inquiète, semblait-il. Elle demanda alors s'il y avait quelqu'un, ce à quoi l'étudiant en génétique répondit tout simplement :

"Ca dépend si vous cherchez des humains ou des fantômes..."

Certes, son ton n'avait rien de très agréable, mais il ne connaissait pas cette jeune femme, même si elle était bel et bien de New Way. En d'autres termes, elle restait une inconnue, et pénétrer ainsi sur le lieu ou, chaque année, les Six rendaient hommage à la mémoire de leur ami décédé, sans la permission du groupe. D'accord, le terrain ne leur appartenaient pas, et tous étaient libres d'entrer sur ce territoire. Se levant, Jack commença à marcher en équilibre sur un tuyau. Arrivé au milieu, il en sauta et s'y rattrapa avec ses mains, puis se laissa tomber sur un deuxième , sur lequel il rebondit avant d'atterir sur le sol, au même niveau que la jeune inconnue, qu'il fixait intensément. Il n'était pas un acrobate, mais sa bonne connaissance des lieux et son habitude d'y grimper chaque année en avait fait quelque chose de banal pour lui. Aussi, lorsqu'il arriva près de la photographe, il lui jeta un regard particulièrement mauvais, et lui demanda d'un ton dur :

"Qu'est ce que vous fabriquez ici ?"

Casey n’avait vu personne en arrivant mais il faut dire qu’elle s’était contenter de regarder au niveau du sol, elle n’avait pas levé les yeux un seul instant car elle n’aurait pas imaginé que quelqu’un puisse monter là haut. Elle avait entendu des gens parler autour d’elle ou pendant ces séances photo de cette usine. Ils en avaient peur et maintenant qu’elle était là elle comprenait pourquoi. Ce décors aurait très bien eut sa place dans un film d’horreur. Abandonné, à l’écart de la civilisation et surtout de nombreuse personne y avait perdu la vie. Ainsi quand elle entendit ce petit bruit et malgré sa formation militaire, elle avait été pas loin de paniqué et qui sait de partir en courant. Mais heureusement elle avait réussit à se contrôler et à demander si quelqu’un se trouvait avec elle.

Aussitôt une voix d’homme lui répondit, le ton qu’il avait employé lui montra bien qu’il n’était pas ravit de la voir et surtout la voix venait du haut. Elle leva alors les yeux et le chercha des yeux quelques secondes avant d’avoir Jack Cooper juste en face d’elle. Elle avait eut de la chance de tomber sur l’un des six le premier jour de sa mission mais elle ne montra rien son visage resta comme quelques secondes auparavant un peu anxieux et surtout interrogatif. Pourtant sa question la fit sourire quelque peu, il n’y avait rien de moqueur ou de méchant dans son sourire mais elle était une scientifique avant tout et elle en croyait pas du tout aux fantômes, aux revenants ou tout se qui avait attrait au surnaturel.

- Je ne cherchais personne en particulier et surement pas des fantômes.

Elle le regarda alors quand il descendit de son perchoir et elle ne put s’empêcher d’éprouver une crainte certaine qu’il se rompe le cou en tombant. L’échafaudage était fragile et ne semblait tenir que par la magie et lui la mettait à très rude épreuve. Elle ne lui dit pourtant rien, elle sentait qu’elle devait rester très silencieuse que Jack était en colère de la voir sur les lieux. Enfin pas en colère particulièrement contre elle mais juste que quelqu’un soit là. Elle avait appris grâce aux gens de New Way qu’un de leur ami était mort ici et il semblait tous encore très affecter par se qui était arrivé. Elle recula juste d’un pas quand il atterrit tout près d’elle. Il lui jeta un regard vraiment très mauvais et même si elle sentit le rouge lui monter aux joues elle ne baissa pas son regard bien au contraire. Elle ne baissait jamais les yeux, sûrement encore une chose qu’elle tenait de son père. Bref ils se toisèrent un instant se jaugeant l’un l’autre. Elle voyait dans le regard du jeune homme qu’il n’avait qu’une envie c’était de la faire remonter dans sa voiture et quitter les lieux. Pourtant il se contrôla autant qu’il put mais quand il s’adressa à elle une nouvelle fois se fut d’un ton sec et pas forcément des plus amical.

- Je …

Habituellement quand une personne lui parlait ainsi ou lui posait une question comme celle-ci, elle l’envoyait balader mais là elle ne pouvait pas, elle devait à tout prix s’intégrer ou du moins se faire accepter par certains membres de ce groupe sinon elle finirait par avoir de sérieux problèmes. Ainsi elle prit une profonde inspiration qui aux yeux de Jack passa surement pour de la crainte et non par un contrôle de soit et elle finit par se lancer dans la petite tirade qu’elle avait imaginé si on venait justement lui demander.

- Je me suis installé à New Way il y à un an et … je n’ai jamais visité les environs. Après se qui est arrivé ces derniers temps j’ai eu besoin de prendre un peu l’air.

Elle avait parlé du ton qui lui semblait le plus juste, elle y avait mit les pauses et les mimiques qu’il fallait pour faire pensé qu’elle était gênée et intimidée par la situation et surtout par lui, elle réussit même à baisser les yeux un instant avant de le regarder de nouveau, toujours droit dans les yeux.

- Je ne savais pas que l’on ne pouvait pas venir, je voulais juste prendre des photos, je le fait toujours.

Elle ne cherchait personne en particulier, à ce qu'elle disait, mais alors qu'était-elle venue faire ici, dans un lieu de déserté de toute population, fui par des habitants qui affirmaient que ce lieu était hanté et maudit par le Démon lui-même. Les mains dans les poches, persistant à la foudroyer du regard, Jack s'avança vers elle, d'une démarche prudente, tout en montrant qu'il n'était pas prêt à céder ne serait-ce qu'une petite parcelle de son territoire. Tous ceux qui se retrouvaient sur le lieu ou les Six rendaient chaque année hommage au défunt septième membre se devait d'avoir une excellente raison de s'y trouver, si ce n'était pas directement un des membres du groupe qui l'y avait conduit. Surtout si Jack avait décidé de s'y rendre pour se calmer... Les évènements récents, la désintoxication d'Alexandra, le hold-up au musée, ou Gabriel et lui avaient chacun vu de quoi l'autre était capable. Cooper se souvenait avec précision de son comportement totalement irrationnel, de quoi il s'était montré capable sans même s'en rendre compte. Comme si... Comme s'il avait été vu par les yeux d'un autre, mais sans avoir véritablement la possibilité de s'en empêcher, comme si son propre corps avait été une prison...

Lorsqu'il lui posa la question, la jeune femme mit un moment à répondre, visiblement surprise et un peu sous le choc. Lorsqu'elle inspira à fond, Jack se demanda s'il lui avait à ce point fait peur. Elle répondit alors qu'elle était depuis un an à New Way, et que le coup des Abris et des explosions, de la quarantaine et tout ce que cela impliquait, l'avait rendu claustrophobe, et lui avait donné une envie irrépressiblede faire quelques tours à l'extérieur, ce que Cooper pouvait aisément comprendre, vu qu'il avait éprouvé la même sensation lors de leur sortie. La jeune femme parlait d'un ton juste, avec grimaces et temps de pause à l'appui. Si elle mentait, alors elle était excellente dans ce domaine, car malgré son entraînement et ses habitudes, le barman ne voyait pas la moindre raison de ne pas la croire, alors il hocha la tête, histoire de le montrer. Ce fut alors qu'elle précisa qu'elle voulait juste prendre des photos, qu'elle ne savait pas qu'il était interdit de venir ici. La regardant droit dans les yeux, l'étudiant en génétique lâcha :

"Vous avez tout à fait le droit d'être là. Le truc, c'est que ce sont des ruines instables, et que vous risquez beaucoup en vous promenant seule ici. Sans parler du fait que les ruines seraient maudites... Voire hantées... Mais vous ne croyez pas aux fantômes, je suppose ?"

Si elle était depuis un an à New Way, il était impossible qu'elle ne connaisse pas l'histoire de l'usine, les phénomènes bizarroïdes ayant empêché sa destruction totale, ou même la mort d'Allan Preston. Depuis ce jour, on disait que cet endroit était possédé par les esprits des gens que l'explosion avait réduit en cendres ce jour-là. Et par tous les autres... Fermant un instant les yeux, Jack se força à ne pas retourner dans le passé, encore trop douloureux à ses yeux, et recommença à observer la jeune femme. Plutôt mignonne, sa silhouette ne lui était pas inconnue. Il avait dû la voir à une ou plusieurs reprises, et sa mémoire l'avait gardée instinctivement, ce qui signifiait qu'elle ne mentait pas : Il l'avait déja vu avant la dernière explosion. Ou, maintenant, c'était une question à laquelle il serait beaucoup plus difficile de trouver une réponse...
Un bruit se fit entendre. Levant les yeux, Cooper aperçut un corbeau qui venait de se poser sur une des poutrelles métalliques, et qui se mit à les regarder en croassant. Les corbeaux sont parmi les plus intelligents oiseaux du règne animal, et sont capable de beaucoup de choses, notamment d'avertir d'un danger. Dans un livre que Jack avait lu, les corbeaux étaient involontairement attirés par les Vortex pouvant causer la destruction de l'humanité... Mais la plupart du temps, c'était pour prévenir de la présence d'un cadavre. Insatiables nécrophages, ils étaient pourtant capables de se nourrir d'autres choses, mais cette prédominence les avait fait voir comme des suppôt de Satan. Leur proximité avec les ruines de l'usine avait augmenté la crainte d'une malédiction. Pourtant, ils n'étaient pas aussi mauvais qu'on le croyait. Jack ne prétendrait pas qu'il était parvenu à en apprivoiser un, mais celui qu'il avait surnommé Denez n'avait aucune crainte à le voir s'approcher et à se laisser carresser les plumes... Mais faites attention ou vous mettez les doigts !
Se retournant vers la jeune femme, il lui dit :

"Je m'appelle Jack Cooper. Et vous ? Je peux connaître votre nom ?"

Quitte à discuter, autant savoir à qui l'on s'adressait, après tout...
Attrapant sa veste, il se la remit sur le dos, histoire de ne pas attraper froid, vu que le coup de chaud consécutif à l'escalade et à la descente avait désormais totalement disparue, et il n'avait pas la moindre envie d'attraper froid...

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